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  • Photo du rédacteurceline fenie

Mon parcours : De l’urbanisme à la géobiologie

Une question revient sans cesse : Qu’est-ce qui vous à amener à avoir ce ressenti ? Pourquoi avoir choisi les lieux ? En bref, pourquoi être géobiologue ?



Chaque histoire est différente, voici la mienne :

J’aime depuis toute jeune lire, observer les maisons, la nature, la ville, la campagne, l’architecte ancienne et moderne, les civilisations perdues.

Mes premières années d’études en Géographie m’ont apporté une connaissance sur les structures géomorphologiques des terrains, les mécanismes de l’eau et du climat. Puis un troisième cycle avec un double diplôme en urbanisme et en paysagisme ont continué à m’apporter beaucoup de savoir intellectuel mais toujours une forme d’insatisfaction, de non abouti.

Puis est venu le temps des missions en collectivités locales et territoriales avec des projets à court et long terme. Pendant toutes ces années, les choix me sont toujours apparus que politique et / ou économiques. Certains choix à priori parfaits sur le papier, ne fonctionnaient pas une fois réalisés. Une question commence à émerger. Ce ne peut pas être seulement cela l’urbanisme : faire des routes, des ronds-points, décider de nouveaux îlots, dessiner des plans pour fluidifier le trafic.

Pourquoi ?

Pourquoi certaine place ne voit elle jamais une seule personne assise ou un enfant en train de jouer ? Pourquoi des rues commerçantes n’arrivent pas à vivre, à faire venir le chaland ? Sans compter ces nouveaux quartiers sans Âme ! Peut-être parce que l’urbanisme n’est peut-être pas que des traits à la règle sur un plan et de bons business plan pour des entreprises !

Des années sont passées avant que je comprenne ce qui me manquait dans cette approche très mentale, la dimension du ressenti, de la compréhension des lieux de leur fonctionnement intrinsèque visible et non visible à l’œil ! et de leur interaction les uns avec les autres.

J’ai cherché en me formant aux techniques anciennes du bâtiment (chaux, terre, eco-habitat), ... la matière, quelle aventure ! Puis à la naissance de mon premier enfant j’ai découvert les pollutions de l’air intérieur et enfin, bien-sûr, il me fallait aussi la “dimension cachée” celle non perceptible mais tout aussi importante que la matière qui m’a permis de découvrir la géobiologie.

La géobiologie se définit comme étant la compréhension de notre environnement sur les êtres vivants par des phénomènes visibles ou non. Certains diront cartésien et non cartésien ! et oui, la fameuse dimension cachée que chaque personne ou objet, forme, ou phénomène naturel émet. Tout ce que notre sous-sol recèle de non visible à l’œil nu (faille, eau, cavité, radon courant vagabond), pollution de l’air (pollution, lumière, ionisation, champs électromagnétiques) et en mémoires imprégnées sur chaque lieu !

Et ainsi commence l’aventure de Diane Géobiologue !!

C’est là qu’intervient la géobiologue que je suis devenue

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