Du vent, du vent, les éoliennes arrivent ! Au-delà de ses grands mats et de ses grandes pales qui marquent aujourd’hui le paysage, ils impriment aussi leur marque dans la terre et dans le ciel.
Eh oui, elles ne sont pas des moulins à vent ou à eau de nos aïeux, elles ont besoin d’un gros socle en béton et de grosse prise de terre électrique (2000 tonnes l’ensemble). Elles peuvent se comporter comme d'énormes aiguilles d’acupuncture mise en terre avec un impact sur le vivant qui peut être neutre ou désastreux sur des kilomètres alentour (son, infrason, lumière, courant parasite, amplificateur de l’information…) selon leur implantation.
La terre est vivante, elle réagit à tout ce qu’on pose dessus et dedans, et quand elle réagit cela produit une réaction en chaîne sur le bien être des humains, de tous les animaux et des plantes. Elle agit alors comme une formidable antenne ou bobine émettrice qui peut se trouver sur une veine d’eau, une faille et transmettre sa nuisance sur des kilomètres.
Chaque éolienne a une prise de terre électrique qui toutes ensemble sur un site ont elles aussi un impact sur la saturation électrique du sous-sol.
Les plus sensibles, les animaux à 4 pattes : vache, chèvre, brebis, cochon… et oui, ils n’ont pas de chaussures et ressentent tous ces courants parasites, et vagabonds qui se promènent dans la terre.
Conséquences ?
Les animaux modifient leur comportement (nervosité, production de lait en baisse, …) les humains aussi même si notre cerveau s’arrange plus facilement avec sa réalité parfois au détriment de sa santé.
L’implantation d’une éolienne n’est donc pas anodine pour le vivant sur de grande distance en 3D.
Que faire me direz-vous ?
Demander à une équipe de géobiologue de venir repérer le terrain avec ses failles, ses cours d’eau pour mieux les implanter.
Et une suggestion : aller passer une journée au pied d’une éolienne pour le vivre !
On en reparle ensuite.
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